Aller au contenu

Théodore Dubois

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Théodore Dubois
Description de cette image, également commentée ci-après
Theodore Dubois (vers 1890).
Nom de naissance Clément François Théodore Dubois
Naissance
Rosnay, Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Décès (à 86 ans)
Paris, Drapeau de la France France
Activité principale Compositeur, pédagogue
Activités annexes organiste
Lieux d'activité Paris
Formation Conservatoire de Paris
Maîtres Antoine Marmontel, François Benoist,
François Bazin, Ambroise Thomas
Enseignement Conservatoire de Paris
Récompenses Grand Prix de Rome en 1861
Distinctions honorifiques Commandeur de la Légion d'honneur[1]

Théodore Dubois, né le [2] à Rosnay et mort le [3] à Paris, est un organiste, pédagogue et compositeur français.

Premières années

[modifier | modifier le code]

Ses parents, Nicolas Dubois et Célinie Charbonnier ont deux enfants : Ferdinand, né en 1832, instituteur, emporté par la typhoïde, et Théodore. À dix ans, alors qu’il revient de la cathédrale de Reims, ce dernier annonce qu’il veut être organiste[4]. Son grand-père François Charbonnier lui achète l’harmonium du château du village et lui fait donner des cours par le tonnelier Dissiry, organiste à Gueux. Il doit rapidement prendre des cours à Reims, auprès de Mlle Charpentier puis de l’organiste de la cathédrale, Louis Fanart. Il se rend à pied deux fois par semaine pour suivre ses cours et devient rapidement le titulaire de l’orgue de Gueux.

En 1853, il entre au Conservatoire de Paris où il suit les cours de piano de Marmontel, apprend l’orgue avec François Benoist, l'harmonie et accompagnement pratique dans la classe de François Bazin et la composition avec Ambroise Thomas. Il obtient son premier prix d'harmonie et accompagnement pratique en 1856, son premier prix de contrepoint et fugue en 1857 et son premier prix d'orgue en 1859[5].

Prix de Rome

[modifier | modifier le code]
Église de la Madeleine à Paris.
Orgue de la Madeleine.

En 1859, Théodore Dubois monte en loge pour la première fois au concours du Grand Prix de Rome de composition musicale et obtient un second Grand Prix[6]. L'année suivante, il retente le concours mais échoue[7]. A sa troisième tentative, il remporte le Premier Grand prix de Rome avec la cantate Atala en 1861.

Après son séjour à la villa Médicis, il devient d’abord, jusqu’en 1869, maître de chapelle à l’église Sainte-Clotilde (dont il était auparavant organiste), puis à l’église de la Madeleine, jusqu’en 1877. Il succède alors à Camille Saint-Saëns au poste d’organiste de cette église.

En 1871, il est professeur d’harmonie et de composition au Conservatoire de Paris et il est élu membre de l’Académie des beaux-arts sur le fauteuil de Charles Gounod en 1894.

En 1896, il devient directeur du Conservatoire, succédant à son ancien professeur et ami Ambroise Thomas. Il y demeure jusqu’en 1905, année où il démissionne.

Vers cette époque également, se développe la polémique qui suit l’exclusion de Maurice Ravel du concours d’essai au prix de Rome[8]. La question est donc posée d’un lien entre les deux évènements, Dubois s’étant montré hostile aux musiciens de la jeune génération, trop éloignés des conceptions qui prévalent au XIXe siècle. En fait, il s’avère qu’il ne s’agit pas de démission de sa part, mais de départ à la retraite, conformément au désir souvent exprimé de se consacrer plus complètement à la composition[9].

Théodore Dubois en 1905.

Son œuvre est considérable : plus de cinq-cents œuvres répertoriées au catalogue de Christine Collette-Kléo (université Paul-Valéry, Montpellier).

Il est nommé Chevalier de la Légion d'Honneur le , puis officier et enfin commandeur par décret du .

Sa musique, en partie produite à une époque où elle semblait déjà issue d’un siècle révolu, trouve un regain d’intérêt, grâce au Palazzetto Bru Zane, à Venise.

Néanmoins, son oratorio intitulé Les Sept Paroles du Christ en Croix, a toujours été chanté, aux États-Unis et au Québec, jusqu’à aujourd’hui, spécialement pendant la Semaine sainte.

Vie privée

[modifier | modifier le code]

Le , Théodore Dubois épouse la pianiste Jeanne Duvinage (1843-1922), dont le père a été second chef d’orchestre à l’Opéra-Comique, avant d’entrer dans l’administration des chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée. Ils ont deux enfants, le premier mort à neuf ans et Charles, né en 1877, membre de l’École française de Rome.

Pour la scène

[modifier | modifier le code]
  • La prova di un' opera seria, opéra composé à Rome, non représenté (1863)
  • La Guzla de l’émir, opéra-comique (Paris, )
  • Le Pain bis ou La Lilloise, opéra-comique (Opéra-Comique, )
  • La Korrigane, ballet de Louis Mérante (Opéra, )
  • La Farandole, ballet de Louis Mérante (Opéra-Comique, )
  • Aben-Hamed, opéra (créé en italien - Théâtre du Châtelet, )
  • Frithjof, opéra (1892)
  • Xavière, idylle dramatique qui se remarque par ses idées mélodiques (Opéra-Comique, ).
  • Circé, opéra en 3 actes (Paris, Cirque des Champs-Élysées, )
  • Miguela, opéra-comique (1896)

Musique vocale

[modifier | modifier le code]
  • Les Sept Paroles du Christ (1867), oratorio dédié à l’abbé Jean-Gaspard Deguerry, curé de la Madeleine, fusillé en 1871 par les Fédérés à la prison de la Roquette. Pour soli, S.T.B., chœurs et orchestre. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Le Paradis perdu, oratorio (1878), prix de la ville de Paris (livre d’Édouard Blau d’après Milton)
  • plusieurs cantates : L’enlèvement de Proserpine (sur un poème de Paul Collin), Hylas, Bergerette ; Les Vivants et les Morts
  • Panis angelicus, en si, pour soprano solo et chœur ad libitum, avec orgue, dédié "à mon ami César Franck" 1893. Nouvelle édition à Paris, chez Heugel, 1925[10].
  • Panis angelicus, en ré majeur, pour ténor solo, harpe, violoncelle et orgue, 1893. Paris, chez Heugel.
  • Panis angelicus, en si majeur, pour mezzo-soprano, chœur d'hommes. Harpe violoncelle et orgue. 1873. Paris, chez Heugel.
  • Messe en mi b, à trois voix (S.T.B.) avec orgue, quintette à cordes et harpe. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Messe en si mineur, à trois voix (S.T.B.) avec orgue, "dans l'esprit du Motu Proprio". Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Messe en la, à trois voix (S.T.B.) avec orgue. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Messe à trois voix d'hommes. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Messe en Fa, à quatre voix (S.A.T.B.) avec orgue. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Messe solennelle de Saint Rémi, soli et chœurs à quatre voix (S.A.T.B.) avec orgue ou orchestre. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Messe pontificale à quatre voix (S.A.T.B.) avec orgue ou orchestre. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Messe brève en Fa, à quatre voix (S.A.T.B.) avec orgue, "dans le style palestrinien". Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Messe pour les morts, soli et chœurs à quatre voix (S.A.T.B.) avec orgue ou orchestre. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • Petite messe pour les morts, soli et chœurs à trois voix (S.T.B.) avec orgue. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • 8 Tantum ergo. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • 9 Ô salutaris. Paris, Heugel, "Au ménestrel".
  • 9 Ave Verum. Paris, Heugel, "Au ménestrel".

Musique pour orchestre

[modifier | modifier le code]
T. Dubois en couverture de Musica et académicien.
  • Marche héroïque de Jeanne d’Arc
  • Fantaisie triomphale pour orgue et orchestre
  • Hymne nuptial
  • Méditation, Prières pour cordes, hautbois, harpe et orgue
  • Concerto-Capriccioso pour piano & orchestre
  • Concerto pour piano & orchestre no 2
  • Concerto pour violon & orchestre’’
  • Suite pour piano & orchestre à cordes
  • Suite concertante pour violoncelle, piano & orchestre
  • Andante cantabile pour violoncelle & orchestre
  • Fantaisie-Stück pour violoncelle & orchestre
  • Notre-Dame de la Mer, poème symphonique
  • Adonis, poème symphonique lire en ligne sur Gallica
  • Symphonie française (1908)
  • Fantasietta (1917).
  • Symphonie no 2
  • Symphonie no 3 (1915)
  • Fantaisie pour harpe et orchestre

Musique pour orgue

[modifier | modifier le code]

De nombreuses pièces pour orgue et pour harmonium, dont :

  • Caprice mélodique et prière, 1868, Paris, Alexandre père et fils.
  • Fantaisie pastorale, 1868, Paris, Alexandre père et fils.
  • La Toccata en sol majeur jouée en l'Église Saint-Nicolas de Garche par Raphaële Garreau de Labarre
    Douze pièces pour orgue ou piano-pédalier : 1. Prélude (fa) – 2. Offertoire (mi) – 3. Toccata (sol) – 4.Verset de Procession (ré) – 5. Offertoire (mi b) – 6.Verset-Choral (la m.) – 7. Fantaisie (mi) – 8. Méditation (mi b) – 9. Marche des Rois Mages (mi) – 10. Offertoire (mi b) – 11. Cantilène Nuptiale (la b) – 12. Grand Chœur (si b), 1886, Paris, A. Leduc.
  • Dix Pièces pour orgue ou harmonium : 1. Entrée (sol mineur) – 2. Entrée-Carillon (fa majeur) - 3. Offertoire (si mineur) - 4. Offertoire (mi majeur) - 5. Élévation (ré majeur) - 6. Élévation (si majeur) - 7. Communion (sol bémol majeur) - 8. Communion (sol majeur) - 9. Sortie-Fughetta (ré majeur) - 10. Sortie (la majeur), 1887, Paris, A. Leduc.
  • 3 Pièces pour Grand Orgue : 1. Praeludium grave (mi b) – 2. Adoratio et Vox Angelica (la) – 3. Hosanna ! «Chorus magnus» (ut), 1890, Boston, Arthur P. Schmidt.
  • Messe de Mariage - Cinq pièces pour orgue : 1. Entrée du Cortège – 2. Bénédiction Nuptiale – 3. Offertoire – 4. Invocation – 5. Laus Deo (Sortie), , 1891, Paris, A. Leduc.
  • Douze Pièces Nouvelles pour orgue ou piano-pédalier : 1. Prélude (ré mineur) et Fugue (ré majeur) – 2. Chant Pastoral (do mineur) – 3. Cortège Funèbre (fa mineur) – 4. La Fête-Dieu (do majeur) – 5. Canon (la bémol majeur) – 6. Alleluia (mi bémol majeur) – 7. Noël (la mineur) – 8. Fiat Lux (mi majeur) – 9. In Paradisum (sol majeur) – 10. Offertoire (ré mineur) – 11. Thème Provençal varié (do mineur) – 12. Marche Triomphale (mi bémol majeur), 1893, Paris, A. Leduc.
  • Seven Pieces for Organ : 1. Prélude (ut mineur) - 2. Cantilène religieuse (ut majeur) - 3.Marcietta (fa majeur) - 4. Interlude (mi bémol) - 5. Prière (ré majeur) - 6. Postlude-Cantique (mi bémol majeur) - 7.Marche-Sortie (sol majeur), 1898, Londres, Novello.
  • Offertoire pour la Fête de l’Ascension « Ascendit Deus », 1902, Paris, Heugel.
  • Entrée, 1907, Paris, Heugel.
  • Postlude, 1907, Paris, Heugel.
  • Deux Petites Pièces pour orgue ou harmonium : 1. Petite pastorale Champenoise (fa) - 2. Prélude (mi b), 1910, Paris, Heugel.
  • Dix Pièces pour Grand Orgue : 1. Entrée (mi b) – 2. Pièces canonique (sol) – 3. Déploration la m/M) – 4. Pastorale (si) - 5. Prélude (sol m.) – 6. Fugue (sol m.) – 7. Évocation (ré) – 8. Introduction-Fantaisie ; Fughetta et Coda (ré b) – 9. Imploration (ré m.) – 10. Sortie « Grand Chœur » (mi), v. 1921, Paris, Heugel.
  • Fantasietta avec variation sur un Thème provençal, 1922, New-York, G. Schirmer,
  • Quarante deux pièces pour orgue sans pédalier ou harmonium, 1926, Paris, Heugel.

Transcriptions

[modifier | modifier le code]
  • Marche héroïque de Jeanne d’Arc, transcrite de l’orchestre, 1888, Reims, E. Mennesson.
  • Fantaisie triomphale, transcrite de l’orchestre, 1889, Chicago, Clayton et Summy.
  • 12 Transcriptions pour Grand Orgue. Paris, A. Durand & Fils, 1917.
  1. Alleluia du Messie (Haendel)
  2. Marche d’Athalie (Mendelssohn)
  3. Marche (nuptiale) du Songe d’une nuit d’Été (Mendelssohn)
  4. Introduction du 3e Acte et Chœur des Fiançailles de Lohengrin (R. Wagner)
  5. Marche religieuse de Lohengrin (R. Wagner)
  6. Marche de Tannhaüser (R. Wagner)
  1. (7.) Marche-Gavotte de Josué (Haendel)
  2. (8.) Psaume XVIII I Cieli Immensi (Marcello)
  3. (9.) Chœur de Paulus (Mendelssohn)
  4. (10.) Chœur Mystique de Faust (Schumann)
  5. (11.) Prélude de Lohengrin (R. Wagner)
  6. (12.) Introduction du 3e Acte et Chœur des Pèlerins de Tannhaüser (R. Wagner)

Musique de chambre

[modifier | modifier le code]
  • Sonate pour violoncelle et piano en ré majeur (1906) dédiée à Paul Taffanel
  • Des pièces pour piano : Chœur et Danse des Lutins, Six poèmes sylvestres, Poèmes alpestres, Poèmes virgiliens[11]
  • De la musique de chambre : trios, quatuors, quintette, septuor, octuors, nonette, dixtuor, etc.

Ses écrits

[modifier | modifier le code]
  • Notes et études d’harmonie pour servir de supplément au Traité d’harmonie de Reber, Paris, Heugel, 1889.
  • Traité de contrepoint et de fugue par Théodore Dubois, Paris, Heugel, 1901.
  • Traité d’harmonie théorique et pratique, Paris, Heugel, s. d. [1921?] (Le copyright des Réalisations des basses et chants du Traité d’harmonie par Théodore Dubois (réalisations de l’auteur), Paris, Heugel, est daté de 1921). Utilisé fréquemment au Conservatoire de Paris et ailleurs.
  • Journal, ouvrage présenté et annoté par Charlotte Segond-Genovesi & Alexandre Dratwicki, Symétrie, Lyon, 2012 (ISBN 978-2-914373-79-1).
  • Souvenirs de ma vie, présentés et annotés par Christine Collette-Kléo, Symétrie, coll. Perpetuum mobile, Lyon, 2009 (ISBN 978-2-914373-42-5).

Enregistrements

[modifier | modifier le code]
  • Théodore Dubois, Concerto pour piano no 2, ouverture de Frithiof, Dixtuor, Vanessa Wagner, piano, Les Siècles, dir. François Xavier Roth [1CD] 2012 Harmonia Mundi.
  • Théodore Dubois, Concerto-capriccioso pour piano et orchestre en ut mineur, Concerto pour piano et orchestre no 2 en fa mineur, Suite pour piano et orchestre à cordes en fa mineur : Cédric Tiberghien, BBC Scottish Symphony Orchestra, Andrew Manze - Hyperion 2013 (Collection Le Concerto romantique pour piano, Vol. 60)
  • Théodore Dubois, Aben-Hamet, Atelier Lyrique de Tourcoing, Jean-Claude Malgoire, 2 CD ALT, .

Écouter une œuvre

[modifier | modifier le code]
In Paradisium

In Paradisum (no 9 des 12 Pièces Nouvelles pour orgue, 1893). Cette pièce illustre parfaitement le style romantique à l’orgue.

Registration

[modifier | modifier le code]
  • L’œuvre se divise en trois sections enchaînées. Dans la première, le thème, exposé sur le quintaton, est accompagné par le bourdon à la main droite, qui développe des guirlandes d’accords arpégés, sur le rythme lent de la basse de pédale.
  • La seconde section est une douce méditation sur la voix céleste donnant une impression d’élévation.
  • La dernière section reprend le thème initial mais cette fois, une voix supplémentaire s’ajoute à la partie soliste pour donner plus d’intensité à l’exposé final.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Le 5 avril 1903 « Cote LH/811/49 », base Léonore, ministère français de la Culture (consulté le 11 avril 2018)
  2. « Archives numérisées d'état civil de la Marne, commune de Rosnay, vue 74/171 » (consulté le )
  3. « Archives numérisées d'état civil de Paris, 1924, 17e arr., acte de décès n° 1546, vue 11/31 » (consulté le )
  4. J. Lespeur, L’éclaireur de l’Est, 1937.
  5. Pierre, Constant, 1855-1918., Le Conservatoire national de musique et de déclamation : documents historiques et administratifs recueillis ou rencontrés par l'auteur, Claude Tchou pour la Bibliothèque des introuvables, (ISBN 2-84575-098-6 et 978-2-84575-098-2, OCLC 70811455, lire en ligne), p. 535, 543, 582
  6. Théodore Dubois et Christine Collette-Kléo, Souvenirs de ma vie, Symétrie Palazzetto Bru-Zane, coll. « Collection Perpetuum mobile », (ISBN 978-2-914373-42-5), p. 37
  7. Théodore Dubois et Christine Collette-Kléo, Souvenirs de ma vie, Symétrie Palazzetto Bru-Zane, coll. « Collection Perpetuum mobile », (ISBN 978-2-914373-42-5), p. 41
  8. La raison exacte de la démission du compositeur est discutée, Dubois ayant apparemment demandé sa démission en mars 1905, deux mois avant « l’affaire Ravel ».
  9. Souvenirs de ma vie. Théodore Dubois et Elisabetta Teglia : Théodore Dubois, un ami « formaliste » de Théodore Gouvy extrait de sa thèse de doctorat Théodore Dubois, compositore organista nel suo tempo, 10 juin 2005, Paris IV Sorbonne et Bologne.
  10. Tiré à part, Paris, Heugel, "Au ménestrel", Heugel, édition corrigée par l'auteur de 1925. no 23.635.
  11. « Poèmes virgiliens, 1898 », sur Bruzane Médiabase.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Théodore Dubois, Journal, présenté et annoté par Charlotte Segond-Genovesi & Alexandre Dratwicki, Symétrie, Lyon, 2012 (ISBN 978-2-914373-79-1).
  • Théodore Dubois, Souvenirs de ma vie, présentés et annotés par Christine Collette-Kléo, Symétrie, coll. Perpetuum mobile, Lyon, 2009 (ISBN 978-2-914373-42-5).
  • Theodore Baker et Nicolas Slonimsky (trad. de l'anglais par Marie-Stella Pâris, préf. Nicolas Slonimsky), Dictionnaire biographique des musiciens [« Baker's Biographical Dictionary of Musicians »], t. 1 : A-G, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », (réimpr. 1905, 1919, 1940, 1958, 1978), 8e éd. (1re éd. 1900), 4728 p. (ISBN 2-221-06510-7), p. 1075.
  • Collette-Kléo, Christine. Introduction à l’étude de Théodore Dubois (biographies-œuvres), thèse de doctorat, Montpellier, Université Paul-Valéry.
  • Jules Combarieu et René Dumesnil, Histoire de la musique : t. III XIXe siècle, Paris, A. Collin.
  • Georges Favre, Compositeurs français méconnus, E. Guiraud et ses amis E. Paladilhe et Th. Dubois, Paris, La Pensée universelle, 1983.
  • Charles-Marie Widor, Notice sur la vie et les travaux de Théodore Dubois, Paris, 1924.
  • Théodore Dubois, L’Œuvre d’orgue, nouvelle édition complète par Helga Schauerte-Maubouet, en 5 vol, Kassel, Bärenreiter, 2005-2016.

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Bases de données et dictionnaires

[modifier | modifier le code]